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Narthex - Art Sacré, patrimoine, création.

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Chanter pour se rappeler
La liturgie du temps de Carême nous propose pour le quatrième dimanche, dans une semaine, le psaume 136 « Au bord des fleuves de Babylone ». Les images fortes de ce texte ont naturellement parlé aux musiciens qui nous en révèlent une part de profondeur dans son poids d’expérience de l’humanité souffrante.
Rattaché à Blogs / Ils ont des oreilles, qu'ils entendent
Exposition : Icônes, trésors de réfugiés à Nantes
Le 24 juillet 1923, le traité de Lausanne est signé, mettant fin au conflit entre les Grecs et les Turcs, commencé en 1919. Considéré comme le dernier traité de paix de la Première Guerre mondiale, ce texte est jugé par certains comme le seul garant d’une paix durable entre la Grèce et la Turquie, par d’autres comme une violation des Droits de l’Homme. En effet, le traité impose l’échange de populations civiles et définit les termes de cette migration forcée des deux côtés de la mer Égée. 1 300 000 Grecs ottomans et 400 000 musulmans vivant en Grèce, de quelque nationalité qu’ils soient, sont contraints au départ, laissant derrière eux tous leurs biens. Au moment de l’exil, les Grecs d’Asie Mineure emportent leurs icônes ou celles présentes dans les églises. Objets de culte, précieux, sacrés, protecteurs, les icônes établissent le lien entre l’ancienne et la nouvelle patrie, entre l’ancienne et la nouvelle vie. Aujourd’hui, certaines témoignent en France d’une migration dont l’origine s’étend audelà des frontières de la Grèce.
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Icônes, trésors de réfugiés à Nantes
C’est un pan de l’Histoire rarement abordé qui est porté par l’exposition « Icônes, trésors de réfugiés » au musée d’Histoire de Nantes jusqu’au 13 novembre 2013. Celui du traité de Lausanne, signé le 24 juillet 1923, qui contraints à l’exil des centaines de milliers de Grecs ottomans et de musulmans vivant en Grèce. Mettant fin au conflit commencé en 1919 entre les Grecs et les Turcs, l’accord impose l’échange de populations civiles et définit les termes de cette migration forcée des deux côtés de la mer Egée. Emportées comme ils l’ont pu par les Grecs d’Asie Mineure, les icônes établissent le lien entre l’ancienne et la nouvelle patrie. Entre l’ancienne et la nouvelle vie. Ces pièces sont devenues l’emblème d’une communauté à l’identité fondée, après le schisme de 1054, sur le christianisme orthodoxe.
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