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Narthex - Art Sacré, patrimoine, création.

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Les collections baroques de Salzbourg présentées au Louvre
Le musée du Louvre réunit jusqu’au 16 janvier 2017 une centaine d’œuvres provenant des collections de différents musées de Salzbourg : le Salzburg Museum, la Residenzgalerie, le musée de l’abbaye Saint-Pierre et quelques autres édifices religieux. Les pièces aimablement prêtées n’avaient encore jamais été présentées à Paris. L'exposition "Geste baroque, collections de Salzbourg" donne à percevoir ce que la Contre-Réforme a pu produire dans la ville natale de Mozart qui fut aussi celle de l’architecture, de la peinture et de la sculpture, au point d’être souvent considérée comme la Rome du Nord.
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Expo "Geste baroque, collections de Salzbourg" au Louvre
Les terres de langues germaniques se sont imposées comme un foyer de création extrêmement fertile, le pouvoir laïc comme le pouvoir religieux commanditant de prestigieux chantiers sur lesquels travaillèrent les plus grands maîtres du baroque et du rococo allemands et autrichiens. Cité millénaire, Salzbourg a compté parmi les chantiers les plus actifs. Sur l’impulsion de ses princes-archevêques et jusqu’en 1803, la ville s’est métamorphosée. Patrie de la musique, qui enfanta Wolfgang Amadeus Mozart en 1756, elle fut aussi celle de l’architecture, de la peinture et de la sculpture, au point d’être souvent considérée comme la Rome du Nord.
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Claude Lévêque, l'enfant et le Cobra
Le 8 juillet 1866 au couvent Saint-Gildard de Nevers, Marie-Bernarde dite Bernadette Soubirous disparait sous le bonnet et la pèlerine des postulantes chez les Sœurs de la Charité et de l'Instruction chrétienne. Elle expliquait : « je suis venue ici pour me cacher.» Le 5 octobre 2013 dans les locaux de l'agence Mazarine, agence de communication dédiée aux marques de luxe, Claude Lévêque révèle au public à l'occasion de la Nuit Blanche une série d'œuvres intitulée comme l'une d'elles : « je suis venu ici pour me cacher ».
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L’élaboration et la création des saintes images au XVIIe siècle expliquées au Louvre
Les bouleversements religieux qui marquent le XVIe siècle, font resurgir l’antique combat contre les images sacrées. Face à cet iconoclasme mené par les penseurs les plus radicaux de la Réforme, la réponse de l’Eglise catholique a lieu lors du concile de Trente. En décembre 1563, elle réaffirme la légitimité de la présence des images dans les lieux de culte ainsi que l’honneur et la vénération qui leur est dus. Les 85 œuvres rassemblées au Louvre jusqu’au 29 juin 2015 dans l’exposition « La fabrique des saintes images, Rome-Paris 1580-1660 », évoquent la complexité des enjeux qui furent au cœur du processus créateur des plus grands artistes du XVIIe siècle. Une exposition qui questionne, une fois encore, le sens de l’amour chrétien des images.
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Exposition : « La fabrique des saintes images, Rome-Paris, 1580-1660 » au musée du Louvre
Le grand mouvement de réforme qui secoua l’Eglise tout au long du XVIe apporta avec lui, après une violente remise en cause, une profonde réflexion sur ce que devaient être les images sacrées. Rassemblant 85 œuvres, l’exposition La fabrique des saintes images présentée au Louvre jusqu’au 29 juin 2015 se propose d’évoquer la complexité des enjeux qui furent, pour l’art religieux, au cœur du processus créateur des plus grands peintres, sculpteurs et architectes du XVIIe siècle : Le Caravage, Annibale Carrachi, Guido Reni, Le Bernin et Pietro da Cortona à Rome ; Simon Vouet, Eustache Le Sueur, Philippe de Champaigne ou les frères Le Nain à Paris.
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1400-1460 : Le Printemps de la Renaissance florentine, à découvrir au Louvre
Si la Renaissance italienne est souvent illustrée par les célèbres peintures de Leonard de Vinci ou Raphaël, c’est pourtant entre les mains des sculpteurs que se sont manifestées ses premières formes d’expression. Jusqu’au 6 janvier 2014, le musée du Louvre met en lumière le rôle fondamental de la sculpture dans ce mouvement artistique et culturel majeur né à Florence à l’aube du XVe siècle.
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Léonard de Vinci est-il notre contemporain ?
La rétrospective inédite consacrée à Léonard de Vinci (1452-1519) se tient au Musée du Louvre, jusqu’au 24 février 2020 - à guichet fermé en raison de son immense succès. Paul-Louis Rinuy s'empare avec sagacité de cet ensemble exceptionnel pour en livrer une lecture captivante et poser la question de la contemporanéité de son art singulier, qui a traversé cinq siècles.
Rattaché à Blogs / En flânant, en regardant
Expo : Vermeer et les maitres de la peinture de genre au musée du Louvre
le Louvre a réglé ses horloges à l’heure hollandaise : outre l'exposition événement Vermeer et les maîtres de la peinture de genre jusqu'au 22 mai, les salles de peinture des Ecoles du Nord du musée ont fait peau neuve après onze mois de travaux. Deux expositions prolongent le voyage en terre hollandaise : « Chefs-d’œuvre de la collection Leiden, le siècle de Rembrandt » et « Dessiner le quotidien, la Hollande au siècle d’or » toutes deux au pavillon Sully.
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Peinture et musique: montrer l'invisible
Le musée du Louvre vient d’ouvrir une passionnante exposition sur l’œuvre religieuse du peintre Nicolas Poussin (1594-1665). Si l’on connait bien Les Bergers d’Arcadie, toile souvent reproduite, cette exposition sera pour beaucoup d’entre nous une découverte de ce versant de l’œuvre de Poussin que le musée du Louvre n’a pas hésité à appeler : « Poussin et Dieu ».
Rattaché à Blogs / Ils ont des oreilles, qu'ils entendent
L’art renversant de Mark Lewis 1/2
Je viens de réaliser qu’un spectateur dort, allongé sur le banc devant moi. Dans le silence. Au Louvre, salle de la maquette, à côté des fondations médiévales, la projection en boucle de quatre films lents et silencieux n’arrête pourtant pas longtemps les visiteurs. Si toute projection d’images animées nécessite un arrêt durable, il faut dire que les œuvres de Mark Lewis requièrent, plus que d’autres, une attention soutenue. Elles peuvent susciter une sorte de suspension du temps. Une respiration qui prend souvent l’ampleur d’un envol. Invention au Louvre me transforme un peu en oiseau, en drone, en planeur. Certains vivent ce vertige avec crainte, je le savoure comme en un rêve. Vous n’avez jamais rêvé que vous voliez ?
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