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Narthex - Art Sacré, patrimoine, création.

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Le Livre de la vie, témoignage du temps
Portrait familial et historique au siècle d’or espagnol
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Le Livre de la vie de Thérèse d’Avila, un récit de conversion (chapitre I à IX)
Le Livre de la vie de Thérèse d’Avila est un récit de conversion, où l’on passe, au sens étymologique où l’entendra Pascal, du "di-vertere" mondain au "con-vertere", sous l’action de l’Esprit-Saint. "Di-vertere" signifie se détourner de penser à soi, au sens de son existence, et se laisser séduire par les vanités du monde.
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Entre mélancolie et dépression : l’acédie médiévale dans le Livre des Fondations de Thérèse d’Avila (chapitre VII)
Le titre du Chapitre VII du Livre des Fondations de Thérèse d’Avila indique « Comment se comporter avec les mélancoliques. A lire impérativement par les supérieures. »
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L’écriture du fragment dans le Livre des Fondations de Thérèse d’Avila
Le terme de fragment vient du verbe latin « frangere » (briser). Un fragment est ainsi un morceau d’objet brisé. En littérature, le fragment occupe une place importante dans la Grèce antique (Héraclite) et le classicisme français du XVIIe siècle (Pascal, La Rochefoucauld, La Bruyère). Il s’agit de textes brefs qui expriment avec vigueur une pensée ou une image. On trouve des aphorismes, courtes sentences qui résument une pensée importante avec concision. La maxime énonce plutôt une règle de morale dans sa généralité.
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L’art du portrait dans le Livre des Fondations de Thérèse d’Avila
Le portrait, dans le Livre des Fondations, est en général un portrait social des grands de son temps, qui sont présentés comme un réseau relationnel, auquel la Madre n’est cependant pas inféodée. L’autre type de portrait est celui de guides spirituels. Ces deux types de portraits s’intègrent avec harmonie au récit, présentent un réel intérêt historique et sociologique et visent à l’édification des moniales et de ses lecteurs.
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Le Château intérieur ou Les demeures de l’âme de Thérèse d’Avila (1577)
A la demande du Père Gracian, son directeur spirituel, Thérèse d’Avila va rédiger entre le 2 juin 1577 et le 29 novembre 1577 un traité sur l’oraison destiné aux moniales des couvents réformés qu’elle a fondés « Las Moradas del Castillo interior » (Les demeures du Château intérieur).
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La métaphore architecturale dans le Château intérieur ou les Demeures de l’âme de Thérèse d’Avila.
A l’époque où Thérèse d’Avila rédige le Château intérieur, en 1577, de nombreux traités d’architecture sont déjà parus dans l’Italie de la Renaissance. Le traité d'architecture romain de Vitruve, le seul qui nous reste de l’Antiquité, est traduit en italien en 1521. Il inspire de nombreux ouvrages ultérieurs d’architectes de renom : outre le De re aedificatoria d’Alberti paru dès 1452, on trouve les cinq livres de Serlio écrits entre 1537 et 1547, la Règle des cinq ordres de Vignole publié en 1562 et les Quatre Livres de l’architecture de Palladio en 1570.
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Le bestiaire dans le Château intérieur ou les Demeures de l’âme de Thérèse d’Avila
On est frappé, à la lecture des deux premières Demeures du Château intérieur, par l’abondance du vocabulaire animal. Il est question de « bestioles et de bêtes brutes qui vivent aux abords du Château » (I, I, 6), de « sales bêtes qui se glissent dans les premières pièces » (I, II, 8).
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L’image de la porte dans Les demeures de l’âme ou le Château intérieur de Thérèse d’Avila
« Et lorsque vous reviendrez, Il vous tiendra toujours la porte ouverte. »
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Visages de femmes de l’Evangile dans le Château intérieur ou les Demeures de l’âme de Thérèse d’Avila
Trois femmes des Evangiles ont été confondues au fil des siècles pour créer l'iconographie de Marie-Madeleine. Ainsi Thérèse d’Avila évoque, à plusieurs reprises, dans le Château intérieur, Marie-Madeleine. L’Evangile de Luc (8,2) présente « Marie, surnommée la Magdaléenne, de laquelle étaient sortis sept démons » (Luc, 8, 2). Elle accompagne les Apôtres et sera le premier témoin de la Résurrection du Christ. L’iconographie la représente se lamentant au pied de la croix ou face au Christ sorti du tombeau, qui lui ordonne de ne pas le toucher.
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