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Exposition "A quoi tient la beauté des étreintes" collection du FRAC Auvergne
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A quoi tient la beauté des étreintes... Sous cet intitulé, le FRAC Auvergne présente soixante-cinq œuvres de sa collection, dont une moitié concerne des acquisitions récentes présentées pour la première fois. La grande question qui parcourt la constitution de toute collection – surtout lorsqu’elle est publique – est d’être en capacité de réunir des œuvres autour de quelques problématiques fortes afin de structurer un propos cohérent et de pouvoir imaginer que ces œuvres puissent dialoguer par petits ensembles, s’invectiver, se répondre dans le contexte de leur exposition scénographiée.
Imaginer une exposition à partir d’une collection revient en quelque sorte à provoquer des étreintes, des accolades affectives fondées sur des familiarités entre artistes qui s’estiment, sur des œuvres concernées par des réflexions communes, fondées aussi sur des rapprochements formels ou chromatiques inattendus, voire improbables, susceptibles d’engendrer d’autres formes de lectures.
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Lorsque les œuvres s’étreignent…et nous étreignent. La collection du FRAC Auvergne
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Il faut se rendre à l’évidence : proposer au public une thématique cohérente et forte qui fasse dialoguer les œuvres d’une même collection est toujours un défi. Mais lorsqu’il s’agit de collections publiques d’art contemporain, comme celles des FRAC, l’exercice est périlleux. C’est d’abord le titre de l’exposition présentée au FRAC Auvergne jusqu’au 27 mars 2016, qui a capté l’attention de Narthex : « A quoi tient la beauté des étreintes ». Nous pensions qu’il s’agissait du geste représenté ou symbolisé dans les œuvres elles-mêmes, il n’en est rien !
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« Solitaire » de Stéphane Thidet, un paysage contemplatif aux Bernardins
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Lorsque l’on entre dans l’ancienne Sacristie du Collège des Bernardins, immédiatement les mots « vie » et « légèreté » viennent à l’esprit. Pourtant, les deux arbres de 8 mètres de haut chacun, suspendus sous les croisées d’ogives et au-dessus du bassin d’eau installé pour l’occasion, sont bien inertes et extrêmement lourds (150kg chacun). L’installation « Solitaire » de Stéphane Thidet présentée jusqu’au 10 juillet 2016 déroute nos notions de perception pour nous faire basculer dans la contemplation.
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