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Hildegard von Bingen (1098-1179) : sa vie et son oeuvre
Hildegard von Bingen est née le 16 septembre 1098 à Bermersheim (Hesse), en Allemagne, et décédée, à 81 ans, le 17 septembre 1179 à Rupertsberg (près de Bingen). Religieuse bénédictine devenue abbesse, elle fut une mystique et une musicienne. Sa correspondance avec les empereurs, rois, reines et papes de son époque nous laisse en possession de 390 de ses lettres. Hildegard composa 77 pièces liturgiques, dont certaines ont été enregistrées récemment par des ensembles de musique médiévale. Elle laisse une œuvre musicale, littéraire et spirituelle d’une grande qualité et originalité. En octobre 2012, elle a été déclarée « Docteur de l’Eglise ».
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Conclusion sur le Scivias et place dans le triptyque visionnaire d’Hildegard von Bingen
L’ouvrage du Scivias « Sache quelles sont les voies du Seigneur » montre la voie (via), le chemin de vie, que Dieu destine à l’homme. Toute l’histoire du Salut est ainsi tracée, depuis la Genèse jusqu’à l’Apocalypse. Une place primordiale est donnée à l’Eglise, présentée comme une parturiente engendrant sans fin de nouveaux croyants, jusqu’à ce que construise l’édifice ecclésial, fondé sur le pilier du Verbe divin et orné des colonnes des vertus chrétiennes. En effet le foisonnement d’images agrémente un véritable traité de théologie, où la Trinité tient une place centrale dans l’histoire du Salut, où la vie sacramentelle est mise à l’honneur comme une entrée dans la vie trinitaire offerte à l’homme.
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Structure du Scivias (Connais les voies) d’Hildegard von Bingen
Le Scivias est le premier ouvrage, rédigé sur dix années par Hildegard von Bingen, entre 1141 et 1151, décrivant 26 visions mystiques et illustré de 35 miniatures. Le titre Scivias est un abrégé de l'expression latine Sci vias Domini (« Apprends à connaître les voies du Seigneur »). Chaque vision est une révélation progressive et fulgurante du Mystère de Dieu :
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SOMMAIRE : « Que, par les choses visibles et temporelles, les invisibles et les éternelles sont manifestées (Nicht nur das Sichtbare und Zeiliche tut Gott durch seine Schöpfung kund, sondern auch das Unsichtbare) » Scivias, I, 3, 1. La troisième vision du Scivias d’Hildegard von Bingen s’articule en quatre parties : la vision cosmique, son interprétation symbolique, la mise en garde contre Satan, la victoire du Christ sur le Mal.
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7e vision du Livre des Œuvres divines d’Hildegard von Bingen
La septième vision est une évocation du salut de l’homme par le Christ. En effet, la science divine permet à Hildegard de comprendre l’histoire du salut et son accomplissement dans la communion des saints.
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Scivias, Vision 6e d’Hildegard von Bingen, le Chœur des anges
Le sommaire de la Vision 6e d’Hildegard von Bingen, le Chœur des anges, va nous guider pour découvrir la hiérarchie céleste et l’harmonie de la création angélique. Cette vision béatifique est inspirée par l’ouvrage du Pseudo-Denys l’Aréopagite et par Jean Chrysostome. Rappelons aussi la place de la musique dans la liturgie bénédictine et l’œuvre musicale d’Hildegard.
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5e vision du Livre des Œuvres divines d’Hildegard von Bingen
Le Livre des Oeuvres divines, qui nous est parvenu par le Manuscrit de Lucca, Liber divinorum operum, daté de 1230 environ, est le troisième et dernier livre des visions d’Hildegard. Il est achevé en 1174, après 11 ans d’un travail harassant. Il montre la toute-puissance divine à l’œuvre dans la création et la place de l’homme dans l’univers. Il distingue, après un prologue, dix visions successives accompagnées d’une miniature en pleine page. Les miniatures font une place à la visionnaire elle-même, représentée dans sa cellule en train de recevoir ses révélations et de les transcrire sur des tablettes de cire. Elle est assise, lève les yeux vers l’objet de sa vision, dans le champ extérieur à l’image cosmique qu’elle contemple. Les dix visions vont conduire de l’œuvre divine de la Création, symbolisée par le cercle du macrocosme englobant le Fils de Dieu, puis l’homme (visions 2,3,4), à la Cité de Dieu, figurée par un carré (visions 6,7,8,9).
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Vision seconde du Livre II du Scivias d’Hildegard von Bingen : la Trinité
Dans la seconde vision du Livre II du Scivias, Hildegard von Bingen tente de dévoiler le mystère de la Trinité par l’image d’une infusion lumineuse. Observons les deux cercles concentriques de cette miniature… A l’intérieur du cercle doré apparaît une silhouette d’homme d’un bleu saphir. C’est le Christ-Rédempteur, qui fait un avec le Père et le Saint-Esprit.
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Vision première du Scivias d'Hildegard von Bingen
Dans la préface au Scivias, Hildegard von Bingen relate son expérience précoce des visions qui remontent à l’âge de cinq ans. Cependant, elle n’accepte d’en entreprendre la rédaction qu’âgée de 42 ans, « car, jusqu'au temps où Dieu voulut, par sa grâce, que ces visions fussent découvertes, je me cachai dans le silence. » Dans le livre 1 du Scivias, elle décrit, puis interprète successivement ses six premières visions.
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La musique, divine harmonie: Hildegard Von Bingen 3/3
L’expérience de la vie humaine vécue comme un combat est de tous les temps. Depuis Saint-Paul, les grands mystiques chrétiens ont tous vécu en leur chair cette tension qui peut aller jusqu’à la violence entre l’aspiration au bien qui les habite et le constat de leurs propres chutes. Hildegarde s’inscrit dans une double tradition : celle des Mystères médiévaux représentés sur les portails de nos églises et celle des « psychomachies » ou combat des vices et des vertus.
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