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Narthex - Art Sacré, patrimoine, création.

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In Memoriam - Christian Boltanski: « Faire son temps »
Pour rendre hommage à Christian Boltanski, disparu le 14 juillet 2021, artiste majeur dont l'oeuvre aux multiples facettes nous offre une exploration sensible et profonde de la mémoire, voici l'article qui a été publié en 2020 sur Narthex lors de sa dernière exposition à Beaubourg. « Faire son temps » était le titre de cette déambulation à laquelle nous a conviés Christian Boltanski au Centre Pompidou. Sa création s’y confronte à l’épreuve du temps sur environ cinquante ans. Une fascinante cohérence émerge de cette relecture, conçue non pas comme une rétrospective mais comme une œuvre en soi déployée en facettes, chacune interrogeant à sa façon les obsessions de l’artiste: les traces d’une vie, la mémoire et l’oubli, le temps et la mort.
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Expo : « Christian Boltanski - Faire son temps » au Centre Pompidou
« Faire son temps » est le titre de la déambulation à laquelle nous convie Christian Boltanski au Centre Pompidou. Sa création s’y confronte à l’épreuve du temps sur environ cinquante ans. Une fascinante cohérence émerge de cette relecture, conçue non pas comme une rétrospective mais comme une œuvre en soi déployée en facettes, chacune interrogeant à sa façon les obsessions de l’artiste : les traces d’une vie, la mémoire et l’oubli, le temps et la mort. Jusqu’au 16 mars 2020.
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Christian Boltanski: « Faire son temps »
« Faire son temps » est le titre de la déambulation à laquelle nous convie Christian Boltanski au Centre Pompidou. Sa création s’y confronte à l’épreuve du temps sur environ cinquante ans. Une fascinante cohérence émerge de cette relecture, conçue non pas comme une rétrospective mais comme une œuvre en soi déployée en facettes, chacune interrogeant à sa façon les obsessions de l’artiste: les traces d’une vie, la mémoire et l’oubli, le temps et la mort. Jusqu’au 16 mars 2020.
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Pascal Convert : Fragilité, douleur, espérance
A découvrir sans tarder à Ia galerie Eric Dupont, l'exposition « Trois Arbres » de Pascal Convert invite à une forme de méditation sur la destruction et l'éphémère dans notre monde moderne. Paul-Louis Rinuy partage ici les émotions et réflexions qui émergent au contact de ces œuvres profondément chargées de sens. Jusqu'au 23 novembre 2019.
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La photographie et la préservation des monuments
La photographie joue un rôle essentiel vis à vis du patrimoine architectural, en apportant un témoignage visuel de son état, de ses évolutions et transformations, plus particulièrement à l'heure où se pose la question de la reconstruction ou de la restauration. Mémoire d'une importante primordiale du patrimoine architectural, la photographie laisse aussi entrevoir l'esprit immuable et intemporel des édifices. En voici la preuve en images...
Rattaché à Blogs / La photographie : un œil pour voir le monde
Expo : Ceija Stojka, une artiste rom dans le siècle à la maison rouge, Paris
La maison rouge rend hommage à l'artiste rom Ceija Stojka dans une rétrospective exceptionnelle jusqu'au 20 mai. Déportée à l’âge de dix ans avec sa mère Sidonie et d’autres membres de sa famille, elle survit à trois camps de concentration, Auschwitz-Birkenau, Ravensbrück et Bergen-Belsen. Quarante ans plus tard, elle commence son travail de mémoire grâce à la poésie et à la peinture. Des œuvres poignantes et un témoignage important.
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Expo-installation : "For, Fari, Fatum" - Anne Poivilliers à l'abbaye de Cluny (71)
Au cœur des vestiges de la grande église abbatiale, la Chapelle Saint-Martial, non restaurée, est l’écrin brut de l’installation d’Anne Poivilliers. "For, Fari, Fatum" témoigne de la mémoire ultime, figée dans un moment d’équilibre: le moment où toutes les cicatrices accumulées réapparaissent, se télescopent et s’unifient. Elle interroge sur le processus impossible de l'oubli, sur l’irréversibilité des traces. L’accumulation de courbes détermine une unité compacte, l'encombrement emprisonne le regard, compresse l’espace. Une immersion à découvrir jusqu'au 17 septembre 2017.
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Expo : Les Cristaux de Milène Guermont au musée de Minéralogie (Paris VI)
Le musée de minéralogie, lieu singulier aux décors du XIXe siècle, possède l’une des plus grandes collections au monde de minéraux. Aujourd’hui, il ose être la scène d’un dialogue inédit entre ses collections et les œuvres en béton de Milène Guermont. Jusqu’au 19 mars, une trentaine d’œuvres, par des connections historiques, des parallèles scientifiques, des rapprochements formels ou des affinités poétiques dialoguent avec les minéraux et croisent ainsi le sensible et le rationnel.
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Les Cristaux de Milène Guermont dialoguent avec la collection du musée de Minéralogie
C’est un médium singulier que l’artiste Milène Guermont travaille avec passion : le béton. Ingénieur de formation, Milène Guermont associe les technologies les plus récentes au pouvoir de l’imagination poétique. Ce béton, elle le froisse, le plie, le presse, le fait parler : le matériau est domestiqué pour que la grâce en soit révélée. Le musée de minéralogie, Mines ParisTech (Paris VI), riche de l’une des plus grandes collections de minéraux au monde, sert d’écrin jusqu’au 19 mars 2016 aux « Cristaux » de béton de Milène Guermont. Un dialogue inédit entre les pierres issues de phénomènes naturels et la matière minérale maîtrisée : là où le rationnel et le sensible se croisent…
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A l'occasion du tricentenaire de la mort de Louis XIV, redécouvrez la Chapelle Royale du château de Versailles !
Le roi est mort, vive le roi ! Ces mots ont résonné à Versailles le matin du 1er septembre 1715, alors que le Roi Soleil venait de mourir. A l’occasion du tricentenaire, Narthex vous propose de redécouvrir un édifice phare : la Chapelle Royale du château de Versailles. 1710 fut l’année de l’achèvement et de la bénédiction de cette chapelle, au terme d’un chantier qui avait duré 23 ans. L'obstination de Louis XIV à le mener à terme fut d’autant plus remarquable qu’il rencontra l’opposition de son entourage, jusqu’à Madame de Maintenon, et que les finances de l’Etat étaient alors principalement mobilisés par les efforts de guerre. Il en résulta un monument magnifique, manifeste architectural conçu par Jules Hardouin-Mansart et décoré par les plus grands peintres et sculpteurs du temps, doté d’un mobilier d’exception. Le tricentenaire de la mort du Roi Soleil est l’occasion ainsi offerte de faire le point sur l’histoire de l’édifice, objet d’une longue élaboration et précédé par quatre chapelles à divers emplacements à l’intérieur du château.
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