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Narthex - Art Sacré, patrimoine, création.

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Expo : Edgar Sarin au collège des Bernardins
L'exposition s'intitule "Un minuit que jamais le regard, là, ne trouble" et est installée dans l'ancienne sacristie du collège des Bernardins jusqu'au 20 juillet 2017. Comme à son habitude, les Bernardins et le commissaire Gaël Charbau, chargé de la programmation artistique de cette année, sont très avares de détails au sujet de cette nouvelle exposition. C'est tout l'art de piquer notre curiosité, en distillant juste ce qu'il faut d'informations, pour nous donner envie de venir voir de nos propres yeux... Alors en attendant que Narthex puisse voir aussi de ses propres yeux, voici une invitation à s'immerger dans l'oeuvre d'Edgar Sarin, le nouvel artiste invité !
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L'expérience du silence
Narthex a eu récemment l’occasion de visiter l’abbaye cistercienne de Maubuisson près de Pontoise. Les bâtiments subsistants de ce monastère fondé par Blanche de Castille, sont devenus un centre dédié à la création contemporaine : ils accueillent pour une longue période des artistes à qui est donné le temps de s’approprier les lieux et de laisser venir en eux l’acte créateur dans la contemplation et le recueillement. Ils suivent les traces des religieuses qui ont vécu ici dans la régularité et le silence monastiques, ce silence dont nous avons tant besoin aujourd’hui, ce silence que les musiciens nous aident à vivre à l’exemple de Beethoven.
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Il était une fois David Claerbout. (2/2)
La lumière solaire éclabousse la partie interrompue, les ombres indiquent un délai, postérieur ou antérieur à midi. Elles unifient les divers éléments : personnages, mouettes, bâtiments, clôture grillagée… À travers la succession des images, ombres et lumière structurent l’espace et affirment l’immobilité du temps. David Claerbout a fréquemment jeté son dévolu sur le jeu des ombres et de la lumière pour faire sentir la durée et découper l’espace représenté en le situant dans l’histoire par des bâtiments modernistes, généralement de la seconde moitié du XXème siècle. Au point de transformer parfois le fond en figure, et la lumière en sujet.
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Il était une fois David Claerbout. (1/2)
Ce « portrait » de David Claerbout se fonde sur l’expérience attentive, plus ou moins approfondie, d’une quinzaine de ses œuvres au cours de huit expositions. (1) Parmi elles j’en choisis une comme porte d’entrée, pour commencer non par un survol en extension mais par une plongée en compréhension. Cette plongée nous conduit, rien moins qu’à la question de la vérité en art, et aux rapports de cette vérité avec la foi chrétienne au sein d’une relation singulière. Pour ne pas se payer de mots, des informations extérieures à l’œuvre ancrées dans l’expérience sensible de quelques figures induisent une conversion de notre rapport au temps et à l’espace, porte ouverte sur l’invisible.
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Livre III du Livre de Lamentation de Grégoire de Narek : au seuil de l’invisible, dans le sanctuaire
Le premier chapitre du livre III est composé de deux parties : l’affirmation de foi dans les trois personnes de la Trinité et l’éloge de l’Eglise, à la fois bâtiment de pierre et temple spirituel.
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Là où commence le jour ... à Lille
L’exposition "Là où commence le jour", présentée au LaM du 2 octobre 2015 au 10 janvier 2016 dans le cadre de lille3000 – Renaissance, prend la forme d’un parcours poétique ayant pour thème l’émancipation de l’individu par la (re)connaissance du monde qui l’entoure. Ce récit visuel inédit invite le visiteur à accomplir un voyage sensible et mystérieux où lui sont révélées, d’oeuvre en oeuvre, la perception et la conscience que l’être humain a des savoirs, des symboles, de la nature, du corps, de la création, de l’espace et du temps.
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Exposition à Lille : Là où commence le jour...
L’exposition "Là où commence le jour", présentée au LaM du 2 octobre 2015 au 10 janvier 2016 dans le cadre de lille3000 – Renaissance, prend la forme d’un parcours poétique ayant pour thème l’émancipation de l’individu par la (re)connaissance du monde qui l’entoure. Ce récit visuel inédit invite le visiteur à accomplir un voyage sensible et mystérieux où lui sont révélées, d’oeuvre en oeuvre, la perception et la conscience que l’être humain a des savoirs, des symboles, de la nature, du corps, de la création, de l’espace et du temps.
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Le nouvel espace-temps de Lyes Hammadouche au Collège des Bernardins
Tout en s’intégrant au thème de la Chaire des Bernardins consacrée, pour les années 2015-2017, à « L’Humain au défi du numérique », l’installation de Lyes Hammadouche « Tout est parti d’une colonne », présentée jusqu’au 5 juillet 2015 dans l’ancienne sacristie du Collège des Bernardins, ne cherche pas à illustrer des découvertes scientifiques. Elle veut inviter les spectateurs à entrer dans un état contemplatif propice à laisser l’imaginaire naviguer librement dans ces questionnements centrés sur l’espace et le temps : où sommes-nous dans l’Univers et « quand » sommes-nous ?
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Exposition: Peintures de Fabienne Becquart-Salmon à La Défense (92)
La Maison d’Eglise Notre Dame de Pentecôte (La Défense) expose du 18 février au 27 mars 2015 les œuvres de Fabienne Becquart-Salmon. La démarche de l’artiste est fondée sur les textes bibliques, la créativité devenant ainsi une expérience picturale et spirituelle qui donne du sens. Cette fois, le visiteur pourra découvrir ses peintures réalisées d’après la Parole de l'Ecclésiaste « IL Y A UN TEMPS POUR TOUT …» (Eccl 3).
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Exposition: Giuseppe Penone au musée de Grenoble
Jusqu’au 22 février 2015, les œuvres de Giuseppe Penone exposées au musée de Grenoble offrent une rêverie sensuelle et poétique sur les éléments qui conduit incidemment à une approche renouvelée des liens profonds et indéfectibles qui unissent l’homme et la nature. Bois, marbre, bronze, mais aussi végétaux, soie, cuir, graphite donnent formes à un nombre important de sculptures ainsi qu’à une réalisation in situ. Elles sont accompagnées d’une sélection de dessins, dont de nombreux inédits, qui viennent éclairer leur genèse.
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