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Narthex - Art Sacré, patrimoine, création.

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La chapelle d'Hem : une rare oeuvre d'art total et un vrai lieu de vie
Classée au titre des Monuments Historiques, la chapelle Sainte-Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la Sainte Face à Hem près de Roubaix dans le Nord constitue un remarquable témoignage du renouveau de l’art sacré à la fin des années 1950. Née de la volonté du mécène et industriel roubaisien Philippe Leclercq (1899-1980), elle constitue un exemple rare d’œuvre d’art total dans un espace qui reste intime. Le lieu est animé par le P. Renaud Wittouck, prêtre du diocèse de Lille, aumônier des artistes et de la chapelle Sainte-Thérèse à Hem, dont voici les propos ont été recueillis par Anne Da Rocha Carneiro, responsable de la commission diocésaine d’art sacré de Lille, lors d'un entretien publié dans le catalogue de l'exposition dossier organisée à la Piscine de Roubaix en 2019-2020.
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Livre II, chapitre 4 de l'Imitation de Jésus-Christ, De la pureté d'esprit et de la droiture d'intention
L'Imitation de Jésus-Christ, en latin « Imitatio Christi », est un best-seller médiéval du mystique allemand Thomas A Kempis. Au fil des semaines, vous êtes invités à en découvrir quelques extraits choisis. Le chapitre 4 du Livre II, que nous étudions aujourd'hui, est une réflexion sur la droiture et la pureté d'intention : le véritable esprit d'enfance.
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Exposition : Ernest Pignon-Ernest au MAMAC de Nice
La Ville de Nice accueille jusqu’au 8 janvier 2017 une grande exposition rétrospective d'Ernest Pignon-Ernest au MAMAC. L'artiste a également investi jusqu’au 2 octobre 216 l'église abbatiale de Saint-Pons avec la présentation des "Extases". Portrait d’un artiste dont les interventions métamorphosent, perturbent, révèlent les lieux et les événements qu’il choisit.
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Théâtre : « Dialogues des Carmélites » Georges Bernanos à la Cartoucherie (Paris XII)
En 1948, à la fin de sa vie, alors que la mort est proche, Bernanos écrit ces Dialogues des Carmélites de Compiègne guillotinées en Place de Grève le 17 Juillet 1794, en pleine Terreur. Ce texte est la seule œuvre théâtrale de Georges Bernanos. Elle fut écrite pour un scénario cinématographique dont le sujet avait été tiré d’une nouvelle de Gertrud von Le Fort, « La dernière à l’échafaud », parue en 1931. Cette nouvelle fut elle-même inspirée de la « Relation » de Mère Marie de l’Incarnation de Dieu, seule survivante dont le récit entraîna la béatification des sœurs en 1906. Jusqu’au 21 février 2016, le Théâtre de l’Arc en Ciel présente ces Dialogues dans une superbe mise en scène d’Olivier Fenoy et Bastien Ossart.
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Visages de femmes de l’Evangile dans le Château intérieur ou les Demeures de l’âme de Thérèse d’Avila
Trois femmes des Evangiles ont été confondues au fil des siècles pour créer l'iconographie de Marie-Madeleine. Ainsi Thérèse d’Avila évoque, à plusieurs reprises, dans le Château intérieur, Marie-Madeleine. L’Evangile de Luc (8,2) présente « Marie, surnommée la Magdaléenne, de laquelle étaient sortis sept démons » (Luc, 8, 2). Elle accompagne les Apôtres et sera le premier témoin de la Résurrection du Christ. L’iconographie la représente se lamentant au pied de la croix ou face au Christ sorti du tombeau, qui lui ordonne de ne pas le toucher.
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L’image de la porte dans Les demeures de l’âme ou le Château intérieur de Thérèse d’Avila
« Et lorsque vous reviendrez, Il vous tiendra toujours la porte ouverte. »
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Le bestiaire dans le Château intérieur ou les Demeures de l’âme de Thérèse d’Avila
On est frappé, à la lecture des deux premières Demeures du Château intérieur, par l’abondance du vocabulaire animal. Il est question de « bestioles et de bêtes brutes qui vivent aux abords du Château » (I, I, 6), de « sales bêtes qui se glissent dans les premières pièces » (I, II, 8).
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La métaphore architecturale dans le Château intérieur ou les Demeures de l’âme de Thérèse d’Avila.
A l’époque où Thérèse d’Avila rédige le Château intérieur, en 1577, de nombreux traités d’architecture sont déjà parus dans l’Italie de la Renaissance. Le traité d'architecture romain de Vitruve, le seul qui nous reste de l’Antiquité, est traduit en italien en 1521. Il inspire de nombreux ouvrages ultérieurs d’architectes de renom : outre le De re aedificatoria d’Alberti paru dès 1452, on trouve les cinq livres de Serlio écrits entre 1537 et 1547, la Règle des cinq ordres de Vignole publié en 1562 et les Quatre Livres de l’architecture de Palladio en 1570.
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Le Château intérieur ou Les demeures de l’âme de Thérèse d’Avila (1577)
A la demande du Père Gracian, son directeur spirituel, Thérèse d’Avila va rédiger entre le 2 juin 1577 et le 29 novembre 1577 un traité sur l’oraison destiné aux moniales des couvents réformés qu’elle a fondés « Las Moradas del Castillo interior » (Les demeures du Château intérieur).
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L’art du portrait dans le Livre des Fondations de Thérèse d’Avila
Le portrait, dans le Livre des Fondations, est en général un portrait social des grands de son temps, qui sont présentés comme un réseau relationnel, auquel la Madre n’est cependant pas inféodée. L’autre type de portrait est celui de guides spirituels. Ces deux types de portraits s’intègrent avec harmonie au récit, présentent un réel intérêt historique et sociologique et visent à l’édification des moniales et de ses lecteurs.
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