« Je suis heureux d’ouvrir ce Printemps de la sculpture qui nous réunit autour d’un ensemble de désirs, de rêves, de vertiges, condensés dans des matières diverses, des plus dures aux plus tendres et fragiles, telles la terre, le tissu, le végétal. Si cette exposition n’est pas un vain rassemblement d’objets hétéroclites, c’est parce que chacune des œuvres, dans son originalité, a trouvé un lieu hospitalier, accueillant, dans le Parc, l’Orangerie ou la Ferme Ornées de la propriété du peintre Gustave Caillebotte qui se montre, aujourd’hui, post-mortem, accueillant et mécène comme il le fut pendant sa vie, grâce aux femmes et hommes qui aujourd’hui entretiennent, font vivre et rayonner toute cette propriété Caillebotte. Quelles clés d’unité donnent sens et vie aux sculptures ici rassemblées ? Et quel sens prend cette exposition, ici et maintenant, sur le corps de la sculpture dans l’art contemporain ? Quatre mots sonnent comme autant de réponses à ces questions. »
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