Une fois qu’on les a découverts, à Bordeaux, à Antibes, lors de la Biennale de Venise dans l’île San Giorgio Maggiore, et dans bien d’autres lieux à travers le monde, on ne peut oublier les visages monumentaux sculptés par Jaume Plensa. Ces yeux fermés, ces sourires étrangement sereins. La Forêt blanche propose au spectateur une expérience curieuse, d’une impressionnante réussite esthétique: se promener à travers des visages de jeunes filles en bronze blanc, aux regards absents, aux fronts étirés, riches d’une intériorité visible.
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En flânant, en regardant