4e vision du Livre des Œuvres divines d’Hildegard von Bingen

Le Livre des Oeuvres divines, qui nous est parvenu par le Manuscrit de Lucca, Liber divinorum operum, daté de 1230 environ, est le troisième et dernier livre des visions d’Hildegard. Il est achevé en 1174, après 11 ans d’un travail harassant. Il montre la toute-puissance divine à l’œuvre dans la création et la place de l’homme dans l’univers. Il distingue, après un prologue, dix visions successives accompagnées d’une miniature en pleine page. Les miniatures font une place à la visionnaire elle-même, représentée dans sa cellule en train de recevoir ses révélations et de les transcrire sur des tablettes de cire. Elle est assise, lève les yeux vers l’objet de sa vision, dans le champ extérieur à l’image cosmique qu’elle contemple. Les dix visions vont conduire de l’œuvre divine de la Création, symbolisée par le cercle du macrocosme englobant le Fils de Dieu, puis l’homme (visions 2,3,4), à la Cité de Dieu, figurée par un carré (visions 6,7,8,9).
Au seuil du sacré, la porte de l’église Sainte-Barbe du Vieux-Caire

Extrait de l’article paru dans la revue Codex.
Thomas Gleb ou la passion du signe

A l’occasion de l’exposition « J’ai mis le jour dans la nuit » sur les oeuvres de l’artiste Thomas Gleb à la bibliothèque polonaise de Paris, Narthex vous propose de découvrir ou redécouvrir cet artiste fascinant qui a marqué le XXe siècle. L’exposition se visite jusqu’au 2 juin 2017. Enfant, il a rêvé de se faire enlever par les Bohémiens car il est né sous le signe d’un astre nomade. Thomas Gleb (1912-1991), juif polonais venu en France dans les années 30, reste toute sa vie un homme exilé, écartelé entre deux terres, un apatride aux yeux couleur de vent. Il traverse le XXème siècle sans être épargné par ses tragédies et c’est dans sa création qu’il transforme les blessures de son histoire en sources de vie.
Parlons trésor

Le caractère particulier des trésors d’églises ou de cathédrales est que les pièces qui les composent, avant d’être des objets d’art, sont des objets du culte. D’ailleurs, les trésors de cathédrales ne sont pas des musées à proprement parler. La grande majorité des œuvres qui y sont entreposées sont susceptibles de servir au culte. De même que l’Église catholique est affectataire des cathédrales, elle est aussi affectataire des trésors. Le responsable du trésor peut donc sortir pour les célébrations des pièces nécessaires à l’exercice du culte.
Un nouvel orgue pour l’église Saint-Louis de Vincennes

L’église Saint-Louis à Vincennes (94) inaugurait au printemps 2017 son nouvel orgue, après plusieurs années de réflexion et de mise en place du projet. Narthex vous propose de découvrir l’aboutissement de ce chantier atypique : ce n’est pas tous les jours que l’on construit un nouvel orgue !
3e vision du Livre des Œuvres divines d’Hildegard von Bingen : l’homme au centre du monde ?

Le Livre des Oeuvres divines, qui nous est parvenu par le Manuscrit de Lucca, Liber divinorum operum, daté de 1230 environ, est le troisième et dernier livre des visions d’Hildegard. Il est achevé en 1174, après 11 ans d’un travail harassant. Il montre la toute-puissance divine à l’œuvre dans la création et la place de l’homme dans l’univers. Il distingue, après un prologue, dix visions successives accompagnées d’une miniature en pleine page. Les miniatures font une place à la visionnaire elle-même, représentée dans sa cellule en train de recevoir ses révélations et de les transcrire sur des tablettes de cire. Elle est assise, lève les yeux vers l’objet de sa vision, dans le champ extérieur à l’image cosmique qu’elle contemple. Les dix visions vont conduire de l’œuvre divine de la Création, symbolisée par le cercle du macrocosme englobant le Fils de Dieu, puis l’homme (visions 2,3,4), à la Cité de Dieu, figurée par un carré (visions 6,7,8,9).
Le bréviaire dit de Saint-Louis de Poissy, un trésor national numérisé

La BnF enrichit sa bibliothèque numérique Gallica d’un nouveau trésor patrimonial : le bréviaire dit de Saint-Louis de Poissy. Commande royale de Philippe le Bel qui le fait réaliser pour promouvoir le culte de son grand-père saint Louis, ce manuscrit exceptionnel avait été classé trésor national et acquis par la BnF en 2016, en partie grâce à la générosité de nombreux donateurs et mécènes. Numérisé en très haute définition, il est désormais accessible à tous en ligne.
Et Resurrexit

La résurrection du Christ que nous venons de célébrer est l’évènement central pour les chrétiens, sans lequel « notre foi est vaine » comme dit Saint Paul. Les musiciens comme les peintres pouvaient-ils rester muets devant cette vérité tellement extraordinaire ? La liturgie nous invite à chanter la mort et la résurrection du Seigneur dans le Credo : en toutes époques les compositeurs proposent leurs créations. Certes, aujourd’hui, la liturgie ne donne plus la possibilité de chanter les messes de Mozart ou de Haydn, mais ces œuvres n’ont pas été écrites pour le concert, la musique va au-delà des mots : elle nous fait découvrir que chanter le Credo est bien autre chose que simplement le réciter.
Livre des Œuvres divines, 2e vision d’Hildegard von Bingen, l’homme au centre de la création

Le Livre des Oeuvres divines, qui nous est parvenu par le Manuscrit de Lucca, Liber divinorum operum, daté de 1230 environ, est le troisième et dernier livre des visions d’Hildegard. Il est achevé en 1174, après 11 ans d’un travail harassant. Il montre la toute-puissance divine à l’œuvre dans la création et la place de l’homme dans l’univers. Il distingue, après un prologue, dix visions successives accompagnées d’une miniature en pleine page. Les miniatures font une place à la visionnaire elle-même, représentée dans sa cellule en train de recevoir ses révélations et de les transcrire sur des tablettes de cire. Elle est assise, lève les yeux vers l’objet de sa vision, dans le champ extérieur à l’image cosmique qu’elle contemple. Les dix visions vont conduire de l’œuvre divine de la Création, symbolisée par le cercle du macrocosme englobant le Fils de Dieu, puis l’homme (visions 2,3,4), à la Cité de Dieu, figurée par un carré (visions 6,7,8,9).
Les églises rupestres de Lalibela (Ethiopie)

Ce sujet a fait l’objet d’une conférence donnée par Daniel Assefa le 4 novembre 2014 dans le cadre de la table ronde organisée par l’Institut du monde arabe en Nord-Pas de Calais et l’Oeuvre d’Orient à Sciences Po Lille. Découvrez la conférence intégrale en audio !