Petit traité de la chose publique à l’usage des amis des églises privées – épisode 2
Voici le 2e épisode du petit traité de la chose publique à l’usage des amis des églises privées par Claude de Martel : « Savoir se présenter » !
L’orfèvrerie et les processions
Nous étudions aujourd’hui les processions aux XIIIe siècle et leurs influences sur la liturgie.
Petit traité de la chose publique à l’usage des amis des églises privées – épisode 1

Claude de Martel vous propose un petit traité de la chose publique à l’usage des amis des églises privées en quatre articles. Ce mois-ci l’épisode n°1 : L’administration, c’est compliqué !
La Paix selon T. S. Eliot

Le lendemain de Noël, l’Eglise célèbre le martyre d’Etienne : comment comprendre cette proximité?
La décoration végétale dans l’orfèvrerie – 2

Ce mois-ci, je vous propose de découvrir le mode de traitement de ces motifs qui évoluent tout au long du XIIIème siècle.
Pourquoi un orgue au service de la liturgie ?

François Mazouër nous explique le rôle fondamental de l’orgue au service de la liturgie.
La décoration végétale dans l’orfèvrerie – 1

Dans les objets religieux de métal, le décor végétal est souvent présent sous forme de symbole. Mais quelle est l’évolution de ce décor au sein du XIIIème siècle ? Et quelles en sont les raisons ?
Musique Sacrée et évangélisation, message du Pape Benoit XVI
Message du Saint-Père aux membres de l’association musicale italienne Santa Cecilia, réunis pour un congrès à Rome. Cité du Vatican, 10 novembre 2012
L’orgue néo-classique dans l’histoire de l’orgue français

Il n’est pas inutile de situer brièvement l’orgue néo-classique dans l’histoire de l’orgue.Le développement de l’orgue néo-classique, dont la redécouverte de la pureté de la facture des instruments baroques a mis un terme dans les années 1970, s’est appuyé sur des personnalités et des institutions qui ont joué un rôle majeur. François Mazoüer nous raconte son histoire !
Le reliquaire d’Herkenrode : une pièce d’exception

L’orfèvrerie religieuse connaît au XIIIe siècle des bouleversements stylistiques qui imposent qu’un poinçon soit gravé sur chaque objet, mais dans les faits cette règle ne sera respectée qu’au XIVe siècle. Nous connaissons aujourd’hui un seul et unique objet qui ait reçu cette marque au XIIIe siècle : le reliquaire d’Herkenrode, dont je vous propose une étude approfondie.