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Narthex - Art Sacré, patrimoine, création.

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Jaume Plensa, montrer des visages, sculpter des âmes
Une fois qu’on les a découverts, à Bordeaux, à Antibes, lors de la Biennale de Venise dans l’île San Giorgio Maggiore, et dans bien d’autres lieux à travers le monde, on ne peut oublier les visages monumentaux sculptés par Jaume Plensa. Ces yeux fermés, ces sourires étrangement sereins. La Forêt blanche propose au spectateur une expérience curieuse, d’une impressionnante réussite esthétique: se promener à travers des visages de jeunes filles en bronze blanc, aux regards absents, aux fronts étirés, riches d’une intériorité visible.
Rattaché à Blogs / En flânant, en regardant
Installation: St-Sulpice accueille "Présence" d'Anne Poivilliers
L’église Saint-Sulpice s’inscrit dans un espace urbain privilégié et préservé, celui du sixième arrondissement de Paris. Elle participe de ce fait à la vie de la cité, à la fois espace public, lieu de rencontre et de tourisme, et surtout lieu de culte. Y proposer une installation, c’est inviter les différents publics à retrouver sa dimension originelle et universelle, en renouant l’instant de leur visite à la mémoire du lieu. Le lieu choisi est la chapelle du péristyle, habituellement fermée au public qui sera ouverte de manière exceptionnelle pour trois semaines. Une installation énigmatique d'Anne Poivilliers y attend le visiteur : de longs filaments transparents et diaphanes descendent de la voute de la chapelle.
Rattaché à Agenda
La règle de Jean Ricardon, de la peinture aux vitraux de l’abbaye cistercienne d’Acey
Pendant son travail à Acey, Michel Seuphor, peintre et écrivain, théoricien de l’art abstrait, aurait écrit à Jean Ricardon, « d’ailleurs, vous êtes un peu moine » car ce travail est solitaire, rigoureux et silencieux. Discernable, le chemin suivi par Ricardon montre son désir de découvrir l’essentiel ; c’est un chemin vers la pureté et le dépouillement. Cela ne veut pas dire qu’il s’agisse d’une peinture paisible ou simple, le travail de Ricardon est complexe, violent. Il révèle la lutte que le peintre mène dans ses recherches pour voir clair et connaître l’autre – et l’Autre. Devons-nous être surpris que ce peintre, dans sa maturité, conçoive des dessins pour les verrières d’une abbaye cistercienne ?
Rattaché à Oeuvres et lieux / Peinture, sculpture, vitrail
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