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Narthex - Art Sacré, patrimoine, création.

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Des écrits mystiques à la réflexion sur l’Art et la Théologie
Voici la première parution de la Saison II proposée par Martine Petrini-Poli : un nouveau blog consacré aux relations qu’entretiennent l’Art et la Théologie, en premier lieu dans l’œuvre du jésuite allemand Karl Rahner (1904-1984). Cette nouvelle séquence succède à l'exploration depuis six ans des écrits mystiques chrétiens, qui font souvent appel à une formulation symbolique pour tenter d'exprimer l'indicible. Ainsi est venue tout naturellement l'idée d'interroger sur l'Art et la Théologie.
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Espèce d’Espace(s) !
Dans l’acte de création d’un artiste, il est questionné comme lieu de transformation. Ce lieu neuf que l’artiste va habiter, qu’il nous propose de partager. Dans la conception d’une exposition il est abordé comme lieu où s’instaurent les relations entre les œuvres d’art : l’espace. Puisant dans sa collection d’œuvres modernes et contemporaines parmi les plus importantes d’Europe, la Fondation Maeght ((Saint-Paul de Vence) explore les frontières disciplinaires, esthétiques, poétiques de l’art. Pour mettre en exergue sa capacité à générer de nouveaux espaces où le corps, l’architecture, les formes qui nous entourent, sont renouvelés. Dans l’exposition « Espace, Espaces ! » à la Fondation Maeght, une centaine d’œuvres issues de son fond, ainsi que d’autres invitées, propose jusqu’au 16 mai 2016 un parcours d’une étonnante vitalité !
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Et quoi en corps ? Le corps au XXe siècle au LAAC de Dunkerque
Partant de quelques œuvres de sa propre collection, le LAAC de Dunkerque s’est entouré de collections privées et publiques pour aborder l’histoire mouvementée de la représentation du corps au XXe siècle. Pendant ce siècle et comme à chaque époque, le regard des artistes sur le corps a accompagné les événements historiques et sociaux. Depuis le temps où la société (re)découvre son corps, à la beauté redéfinie des dernières décennies, en passant par les figures anonymes de l’après-guerre ou par l’émancipation des années 1960. L’exposition « Every Body », à découvrir jusqu’au 18 septembre 2016, se veut être un seul point de vue qui en appelle d’autres. Ainsi elle participe à la question récurrente: comment l’art nous parle-t-il de nous ?
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Expo : "Chagall et la musique" au musée national Marc Chagall de Nice
Synthèse resserrée des deux expositions présentées à l’automne 2015 à Paris (Le Triomphe de la musique au Musée de la Musique – Philharmonie de Paris) et à Roubaix (Les Sources de la musique à la Piscine – Musée d’art et d’industrie André Diligent), l’exposition s’enrichit de nouvelles oeuvres uniquement visibles à Nice : l’auditorium voulu par Marc Chagall pour son musée, le clavecin peint par l’artiste en 1980 et une salle consacrée au roi David, figure majeure du cycle du Message Biblique. Toutes ces œuvres témoignent superbement de ses affinités profondes avec la musique. Le meilleur témoignage de cet amour réside cependant dans un lieu qu’il a créé à Nice pour qu’y vive la musique : la salle de concert du musée national Marc Chagall qui continue d’accueillir chaque année une riche programmation musicale. Pour le musée, Marc Chagall a également peint un clavecin, offert par l’Association des amis américains du musée Marc Chagall.
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Expo : « Ecriture et peinture engagées, farandole de Jean Proal et Hans Hartung » à Nantes
L’exposition présentée jusqu’au 18 juin 2016 au Passage Sainte-Croix de Nantes, met en lumière les liens étroits qu’entretiennent l’écriture et la peinture à travers l’œuvre commune de deux grands artistes amis : l’écrivain-poète Jean Proal (1904-1969) et le peintre Hans Hartung (1904-1989), figure clé du développement de l’abstraction en France dès 1922. Grâce à un prêt exceptionnel du Musée des beaux-arts de Nantes, l’exposition « Ecriture et peinture engagées, farandole de Jean Proal et Hans Hartung » présente quinze lithographies couleurs d’Hans Hartung en regard du poème de Jean Proal Farandole, qui les a inspirées.
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Expo : Rodin, le centenaire au Grand Palais (Paris)
A l’occasion du centenaire de la mort d’Auguste Rodin (1840-1917), le Grand Palais a fait le pari de réunir près de 200 œuvres de l’artiste, sculptures, moulages, dessins et peintures pour une grande rétrospective. Cette exposition événement, réalisée en partenariat avec le musée Rodin de Paris met en évidence l’univers créatif de Rodin, ses rapports avec le public et la manière dont les sculpteurs se sont approprié son esthétique. Jusqu’au 31 juillet 2017.
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Exposition : Chagall et la musique à Paris et Roubaix
L’importance de la musique dans l’univers de Chagall est une évidence. Tout le monde a en tête sa plus célèbre réalisation pour l’Opéra de Paris : le plafond commandé par André Malraux en 1962. Mais il ne faut pas réduire Chagall à cette unique création. La place de la musique dans la vie de l’artiste est plus profonde, plus intime, et trouve son commencement dans sa jeunesse. Elle est quasiment devenue, au fil de son parcours, un sujet essentiel. Né d’une envie commune d’explorer cette thématique, Paris et Roubaix ont décidé de réaliser une exposition en deux volets : d’un côté à la Philharmonie de Paris, d’un autre au musée d’art et d’industrie de Roubaix. Tandis que Paris se consacre au Triomphe de la musique, Roubaix s’attache aux Sources de la musique. Mais au-delà du triomphe de la musique, c’est également une véritable passion pour les couleurs qui se dévoilent à travers ses différents travaux. Un mélange subtile entre les sons et les couleurs que nous vous présentons aujourd’hui et qui est à découvrir jusqu’au 31 janvier 2016.
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Exposition Gustave Moreau-Georges Rouault, Souvenirs d'atelier - Musée Gustave Moreau, Paris 9e
Du 27 janvier au 25 avril 2016, les visiteurs du musée Gustave Moreau seront invités à découvrir la parenté artistique entre les oeuvres de Gustave Moreau (1826-1898) et celles de son élève Georges Rouault (1871-1958), à l’occasion de l’exposition « Gustave Moreau – Georges Rouault. Souvenirs d’atelier ». Présentée au sein de la maison familiale de l’artiste devenue musée en 1903, cette exposition, qui s’est d’abord tenue au Japon en 2013, a pour ambition d’éclairer ce que furent les années d’apprentissage de Georges Rouault à l’École des beaux-arts dans l’atelier de Gustave Moreau, mais aussi de mieux comprendre les préceptes sur lesquels Moreau, professeur libéral, fonda son enseignement.
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Gustave Moreau - Georges Rouault, une filiation spirituelle et artistique
Franchir les portes du petit Musée Gustave Moreau, c’est pénétrer dans un lieu qui occupa une place centrale dans la vie non pas d’un seul artiste, mais de deux. Cette maison parisienne du XIXe siècle qui fut la demeure familiale de Gustave Moreau (1826-1898), fut également celle de son élève préféré, Georges Rouault (1871-1958). En effet, après avoir contribué à son aménagement, Georges Rouault devient le premier conservateur de ce lieu conçu dès sa création par Gustave Moreau comme « un ensemble à conserver impérativement » et transformé en musée par décret en 1903. Rouault occupe cette fonction jusqu’en 1932. A travers quelques thèmes communs, les 48 œuvres (27 de Gustave Moreau et 21 de Georges Rouault) choisies pour l’exposition célèbrent la relation quasi filiale entre les deux hommes. Des « Souvenirs d’atelier » à découvrir jusqu’au 25 avril 2016.
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Jean Giono, une rétrospective entre ombre et lumière
En amont du cinquantenaire de la disparition de Jean Giono (1895-1970), le Mucem lui consacre une grande rétrospective. Dépassant la vision simpliste d’un auteur régionaliste et solaire, elle s’attache à dépeindre un portrait plus sombre et plus juste de l’écrivain provençal. Riche de la quasi-totalité de ses manuscrits, mais aussi d’archives familiales et administratives, de photographies, entretiens filmés, tableaux d’amis peintres et carnets de travail, l’exposition restitue le contexte de création de l’un des écrivains français les plus prolifiques du XXe siècle, sans en nier la part d’ombre. Jusqu'au 17 février 2020.
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