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Narthex - Art Sacré, patrimoine, création.

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Expo : Edgar Sarin au collège des Bernardins
L'exposition s'intitule "Un minuit que jamais le regard, là, ne trouble" et est installée dans l'ancienne sacristie du collège des Bernardins jusqu'au 20 juillet 2017. Comme à son habitude, les Bernardins et le commissaire Gaël Charbau, chargé de la programmation artistique de cette année, sont très avares de détails au sujet de cette nouvelle exposition. C'est tout l'art de piquer notre curiosité, en distillant juste ce qu'il faut d'informations, pour nous donner envie de venir voir de nos propres yeux... Alors en attendant que Narthex puisse voir aussi de ses propres yeux, voici une invitation à s'immerger dans l'oeuvre d'Edgar Sarin, le nouvel artiste invité !
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Laura Lamiel, les labyrinthes inattendus de la mémoire
Déroutante et complexe est l’œuvre de Laura Lamiel, comme est troublant son mystère. L’artiste, née en 1948 à Morlaix, est aussi rare que discrète. A travers l’exposition sétoise intitulée « Les yeux de W », elle nous convie à un voyage intérieur qui procède par glissements successifs de peintures en sculptures et agencements d’objets, de cavités en mondes souterrains, de « Chambres de capture » en « Cellules »… Ce faisant, elle nous invite à en éprouver les espaces enchâssés et labyrinthiques comme autant de recoins de sa mémoire et de ses territoires intimes.
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« Réflexion en cours » de Tarik Kiswanson au Collège des Bernardins
Après les installations consécutives de Stéphane Thidet, Pauline Bastard et Lies Hammadouche qui se découvraient dans une Sacristie des Bernardins plongée dans l’obscurité, c’est sous la lumière du jour que se déploient jusqu’au 18 décembre 2016 les sculptures effilées de Tarik Kiswanson. Car la lumière naturelle qui se reflète sur les multiples bandes de métal, induit la relation entre l’œuvre, le spectateur et l’architecture qui les entoure. L’installation « Ongoing reflexction ; you, me so many » de Tarik Kiswanson est un travail sculptural et conceptuel autour du corps, de la matière et de la perception.
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Exposition: "Réflexion" de Tarik Kiswanson au Collège des Bernardins
Quatrième invité du programme de résidence« Questions d’artistes » du Collège des Bernardins, Tarik Kiswanson investit cet automne l’ancienne Sacristie. L’artiste engage un dialogue à la fois visuel et conceptuel avec l’architecture cistercienne, en installant des structures métalliques étirées au cœur de l’espace. Comme un écho aux colonnes de la sacristie, ses sculptures effilées tombent depuis les clefs de voûtes, créant des structures parmi lesquelles les spectateurs pourront évoluer et découvrir le lieu sous un nouveau jour. Grâce aux multiples jeux de reflets et de points de vues induits par le métal poli - jusqu’à devenir miroir - les visiteurs deviennent eux-mêmes acteurs de l’œuvre.
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« Solitaire » de Stéphane Thidet, un paysage contemplatif aux Bernardins
Lorsque l’on entre dans l’ancienne Sacristie du Collège des Bernardins, immédiatement les mots « vie » et « légèreté » viennent à l’esprit. Pourtant, les deux arbres de 8 mètres de haut chacun, suspendus sous les croisées d’ogives et au-dessus du bassin d’eau installé pour l’occasion, sont bien inertes et extrêmement lourds (150kg chacun). L’installation « Solitaire » de Stéphane Thidet présentée jusqu’au 10 juillet 2016 déroute nos notions de perception pour nous faire basculer dans la contemplation.
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Exposition Sylvie Blocher au CRAC Languedoc-Roussillon
En collaboration avec le Mudam Luxembourg où elle avait été présentée en 2015, l'exposition "S'inventer autrement" continue jusqu’au 31 janvier 2016 au CRAC Languedoc-Roussillon à Sète. Elle se déploie au fil d’une quinzaine d’installations vidéographiques récentes et d’un projet participatif, qui questionnent la construction des identités, l’altérité, la parole individuelle ou collective ou encore la porosité des frontières entre le masculin et le féminin. L’occasion de redécouvrir le portrait de cette artiste hors du commun...
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Expo-installation : "For, Fari, Fatum" - Anne Poivilliers à l'abbaye de Cluny (71)
Au cœur des vestiges de la grande église abbatiale, la Chapelle Saint-Martial, non restaurée, est l’écrin brut de l’installation d’Anne Poivilliers. "For, Fari, Fatum" témoigne de la mémoire ultime, figée dans un moment d’équilibre: le moment où toutes les cicatrices accumulées réapparaissent, se télescopent et s’unifient. Elle interroge sur le processus impossible de l'oubli, sur l’irréversibilité des traces. L’accumulation de courbes détermine une unité compacte, l'encombrement emprisonne le regard, compresse l’espace. Une immersion à découvrir jusqu'au 17 septembre 2017.
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Prolongation de l'exposition! Sylvie Blocher : les vivants (1/2)
Entre Sylvie Blocher et la ville de Saint-Denis (93) c’est une histoire d’amour qui dure depuis plus de 30 ans. Elle y vit, y a son atelier, y revient après chacun de ses voyages. En 1995 déjà, elle avait investi la chapelle de l’ancien Carmel de Saint-Denis, devenu musée d’Art et d’Histoire en 1981. Aujourd’hui et jusqu’au 17 octobre 2016, les vidéos de Sylvie Blocher, percutantes et empreintes d’humanité, renouvellent ce lieu bâtit pour le religieux et s’immiscent avec pertinence dans les collections du musée. Prenant sa source dans l’altérité, l’œuvre de Sylvie Blocher dénonce la censure, joue sur les mots et les silences. Au musée d’Art et d’Histoire, l’exposition « Les mots qui manquent, the missing words » traduit le désir de l’artiste de porter la vérité, la liberté et l’émancipation. Avec l’art pour seule arme, Sylvie Blocher interroge avec poésie mais sans concession notre rapport à l’autre.
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Installation de Claude Lévêque sous la Pyramide du Louvre
A la suite de Wim Delvoye en 2012 et de Loris Gréaud en 2013, Claude Lévêque a été invité par le Louvre à investir sa Pyramide. L’installation monumentale créée in situ intitulée « Sous le plus grand chapiteau du monde » est le premier volet d’une intervention qui viendra, en 2015, habiter les fossés et le donjon du Louvre médiéval. Cette œuvre lumineuse fait dialoguer la mémoire de l’artiste avec celle des lieux, et place le visiteur « entre coercition et ravissement ».
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Installation « La Veillée des solitaires » d’Eric Michel à St-Jean-aux-Bois (60)
Le travail d’Eric Michel sur la lumière, en particulier ses tableaux saturés de pigments purs, ses vidéos et ses installations fluorescentes, s’inscrit essentiellement dans la tradition d’une quête de l’immatériel, dans la lignée d’Yves Klein, James Turrell et Dan Flavin. Jusqu’au 8 mars, la sculpture de lumière « La Veillée des solitaires » exposée dans la salle capitulaire de l’abbatiale de Saint-Jean-aux-Bois (60), nous invite à une méditation portée par nos sensations. En passeur, l’artiste entraîne vers les rives de l’ineffable ceux qui acceptent l’aventure dans son monde.
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